Les Meurtres de Molly Southbourne – Tade Thompson

Résumé : Molly est frappée par la pire des malédictions. Aussi les règles sont-elles simples, et ses parents les lui assènent depuis son plus jeune âge.
Si tu vois une fille qui te ressemble, cours et bas-toi.
Ne saigne pas.
Si tu saignes, une compresse, le feu, du détergent.
Si tu trouves un trou, va chercher tes parents.

Molly se les récite souvent. Quand elle s’ennuie, elle se surprend à les répéter sans l’avoir voulu… Et si elle ignore d’où lui vient cette terrible affliction, elle n’en connaît en revanche que trop le prix. Celui du sang.

Edition : Le Bélial’

 

Mon Avis : J’ai découvert Tade Thompson, il y a quelques mois maintenant, en me lançant dans la lecture de son cycle sur Rosewater ( Mon avis sur le Tome 1, Tome 2) qui m’avait offert de très bons moments de lecture à travers un univers captivant ains qu’une intrigue efficace et surprenante. Concernant cette novella, j’en entends parler de fçon positive depuis un petit moment déjà, mais ayant rapidement vu que les droits étaient acquis par l’éditeur Le Bélial’, j’ai préféré attendre sa publication en VF. Cela me permet aussi de continuer tranquillement ma collection des exemplaire Une Heure Lumière et aussi de profiter de la magnifique couverture d’Aurélien Police.

The Kingston Cycle Book 1, Witchmark – C.L. Polk

Résumé : In an original world reminiscent of Edwardian England in the shadow of a World War, cabals of noble families use their unique magical gifts to control the fates of nations, while one young man seeks only to live a life of his own.
Magic marked Miles Singer for suffering the day he was born, doomed either to be enslaved to his family’s interest or to be committed to a witches’ asylum. He went to war to escape his destiny and came home a different man, but he couldn’t leave his past behind. The war between Aeland and Laneer leaves men changed, strangers to their friends and family, but even after faking his own death and reinventing himself as a doctor at a cash-strapped veterans’ hospital, Miles can’t hide what he truly is.
When a fatally poisoned patient exposes Miles’ healing gift and his witchmark, he must put his anonymity and freedom at risk to investigate his patient’s murder. To find the truth he’ll need to rely on the family he despises, and on the kindness of the most gorgeous man he’s ever seen.

Edition : Tor

Mon Avis : J’ai entendu parler pour la première fois de ce roman un peu avant sa sortie, grâce à la communication qu’en avait fait l’éditeur, allant même jusqu’à proposer d’en découvrir en avance une dizaine de chapitres. Pour autant, je n’avais pas craqué à l’époque de sa sortie, certes le résumé m’intriguait, mais pas assez pour me pousser à l’acheter tout de suite. Il a donc fallu attendre que l’éditeur le propose, il y a quelques mois, en ebook gratuit pour que je décide enfin de le faire entrer dans ma PAL et le découvrir. Concernant la couverture, illustrée par Will Staehle, je la trouve très sympathique et collant finalement assez bien dans l’ambiance du roman.

Braises de Guerre – Gareth L. Powell

Résumé : Le Chien à Problèmes est un croiseur lourd, construit pour semer la violence. Doué de conscience, c’est aussi une adolescente dégoûtée par le rôle qu’elle a joué dans le génocide d’une planète entière. Le Chien, reconverti dans le sauvetage des naufragés spatiaux, et sa capitaine, Sal Konstanz, reçoivent l’ordre de venir en aide aux éventuels survivants d’un paquebot en perdition au cœur d’un système contesté. De l’épave émerge une poétesse dissimulée sous une fausse identité pour échapper à l’horreur de la guerre, Ona Sudak. À quelques années-lumière de là, Ashton Childe, un agent des services secrets mis au placard, fait équipe avec un membre d’une faction adverse pour partir à la recherche de la rescapée. Tous risquent de se retrouver, bien malgré eux, au cœur d’un conflit qui menace d’embraser à nouveau toute la galaxie.  

Edition : Denoël Lunes D’Encre (Publié le 11-04-2019)
Traduction : Mathieu Prioux

 

Mon Avis : J’avoue, dernièrement mes lectures m’ont laissé un sentiment de frustration avec un décalage, plus ou moins important, entre ce que proposait le livre et les attentes que j’avais initialement. Le soucis, quand on aligne quelques frustrations, c’est de trouver un roman qui puisse sortir de cette spirale. Quand on m’a donc proposé de découvrir Braises de Guerre, j’ai rapidement accepté, sachant un peu dans quoi je me lançais suite à quelques retours que j’avais lu chez d’autres blogueurs. Je me disais qu’une lecture sans prétention, présentée comme très classique mais efficace, serait agréable et au moins j’aurais moins de mauvaises surprises. Concernant la couverture, illustrée par Alain Brion, je la trouve très sympathique.

Sea of Rust – C. Robert Cargill

Résumé : Humankind is extinct. Wiped out in a global uprising by the very machines made to serve them. Now the world is controlled by One World Intelligences – vast mainframes that have assimilated the minds of millions of robots.
But not all robots are willing to cede their individuality, and Brittle – a loner and scavenger, focused solely on survival – is one of the holdouts.
Only, individuality comes at a price, and after a near-deadly encounter with another AI, Brittle is forced to seek sanctuary. Not easy when an OWI has decided to lay siege to the nearest safe city.
Critically damaged, Brittle has to hold it together long enough to find the essential rare parts to make repairs – but as a robot’s CPU gradually deteriorates, all their old memories resurface. For Brittle, that means one haunting memory in particular . . .

Edition : Gollancz

Mon Avis : Ce roman a connu une vie un peu bizarre dans ma PAL. Je l’ai fais entrer dans ma bibliothèque d’ebook, il y a un peu moins de 2 ans suite à une promotion de l’éditeur Gollancz, sur un coup de tête me basant simplement sur son résumé et des retours très positifs. Le soucis avec ma PAL numérique c’est que, n’ayant pas clairement de visu dessus, j’oublie parfois que je possède certains romans. Il a fallu qu’Albin Michel Imaginaire annonce la traduction et la publication prochaine de ce roman en VF pour que je me rappelle que je le possédais. J’avoue la présentation qu’en a fait l’éditeur VF, ainsi que le fait que ce roman est très bien noté sur Goodreads, ont ainsi fait remonter ce livre rapidement dans ma PAL. Puis bon, je ne voulais pas me faire avoir et acheter un livre en VF alors que je l’ai déjà en VO. Concernant la couverture, je la trouve sympathique son côté rugueux , violent et sauvage colle parfaitement au récit.

Le Chant Mortel du Soleil – Franck Ferric

Résumé : Il s’appelle Araatan, il est le Grand Qsar. On le surnomme la Montagne car il est haut comme deux hommes, large comme un auroch. Le destin de ce géant est de mener son peuple de cavaliers sur la route de la Toute Fin : achever l’extermination totale des dieux. Une seule divinité a survécu à leur déicide : celle de la cité d’Ishroun. Pour abattre les murailles d’Ishroun et éteindre le culte de la Première Flamme, Araatan se donne un an. Elle s’appelle Kosum. Née esclave, elle était la meilleure dresseuse de chevaux des plaines. Pour avoir tenté de castrer le fils de son maître, elles a été enchaînée nue à une tour pleine de morts. Alors qu’elle attend résignée le baiser mortel du gel, quatre cavaliers la délivrent. Ces hommes durs retournent auprès du Grand Qsar. Kosum, qui croyait mettre un pied dans la guerre, va entamer un tout autre voyage.

 

Edition : Albin Michel Imaginaire

 

Mon Avis : J’ai découvert Franck Ferric, il y a un peu plus de 8 ans maintenant, avec ma lecture de son roman La Loi du Désert qui m’avait offert un très bon moment de lecture à travers le voyage proposé (ma chronique ). Je métais ensuite laissé tenter par sa Fantasy urbaine, Les Tangences Divines, qui m’avait aussi offert un bon moment dans sa lutte face à un monde qui change (ma chronique ici). Je m’étais ensuite laissé tenter par Trois Oboles pour Charon et sa revisite du mythe de Sisyphe, que j’avais trouvé sympathique, mais qui m’avait moins marqué que ce que j’espérais (ma chronique ). Aussi, quand Albin Michel Imaginaire a proposé de sortir le nouveau roman de l’auteur, je savais qu’il terminerait rapidement dans ma PAL, encore plus après les nombreux retours positifs que j’ai vu passer. Concernant la couverture, illustrée par Guillaume Sorel, je la trouve très sympathique.

String City – Graham Edwards

Résumé : THE UNIVERSE IS MADE OF STRING. WHEN THE KNOTS TIGHTEN, THE COSMOS QUAKES.
It’s a tough job being a gumshoe in an interdimensional city full of gods, living concepts and weirder things. Good thing I’m a stringwalker, able to jump between realities.
It started when I was hired to investigate an explosion at a casino. A simple heist, I thought, but it turned into a race to stop the apocalypse. So I rolled the dice, and now I’m up against the ancient Greek Titans, an interdimensional spider god and a mysterious creature known as the Fool. I’m going to need more than just luck to solve this one.
If I fail, all things—in all realities—could be destroyed.
Just another day in String City.

 

Edition : Solaris

 

Mon Avis : Je me suis laissé tenter par ce roman un peu sur un coup de tête, suite à plusieurs posts de comm de l’éditeur que j’ai vu passer sur mes différents fils de réseaux sociaux. Je me suis ainsi retrouvé rapidement attiré par le résumé qui avait l’air de présenter un récit qui ne manquait pas d’imagination et de pep’s. Je ne connaissais rien de l’auteur avant de me lancer dans la lecture de ce récit, mais le site développé pour offrir un côté un peu transmédia au roman, même s’il est un peu « kitsch » a continué à titiller ma curiosité et de voir ce qu’il pouvait bien proposer. Concernant la couverture, illustrée par Vince Haig, je la trouve plutôt sympathique et qui met dans l’ambiance.

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