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J’agonise Fort Bien, Merci – Oren Miller

Résumé : NE CRAIGNEZ PAS LES MONSTRES, CRAIGNEZ CEUX QUI SE CACHENT DERRIÈRE…
Sainte-Marie-La-Grise.
Son cadre exceptionnel près de la Côte d’Émeraude en fait une destination de vacances des plus prisée. De magnifiques paysages, un mystérieux folklore breton et des morts qu’on a aidés à trépasser raviront les plus aventureux d’entre vous.
Profitez de l’hospitalité chaleureuse des habitants qui sauront vous mettre à l’aise.
Afin d’apprécier pleinement votre séjour, veillez cependant à respecter trois règles :
1 – Écoutez toujours les murmures de ceux que vous ne voyez pas.
1 – Gardez-vous des créatures sinistres qui frappent avant d’entrer.
3 – Soyez sage. Très sage.

Edition : L’Homme Sans Nom

 

Mon Avis : J’ai découvert l’autrice, Oren Miller, il y a un peu plus de deux ans maintenant avec son tout premier roman Le Roi Sombre. Il s’agissait d’une réécriture du comte de Monte-Cristo dans un univers de Science-Fiction. Ce livre m’avait offert un moment de lecture assez sympathique et divertissant. Je m’étais dis que je me laisserai tenté  par d’autres écrits de l’autrice pour voir comment elle allait évoluer. Il était donc logique que je me décide de découvrir son second roman, J’agonise fort bien merci. Comme souvent, c’est vrai, le roman traîne dans ma PAL depuis plusieurs mois maintenant, mais vu que j’essaie depuis peu d’en ressortir certains qui se cachent depuis un certain temps, j’ai offert une chance à ce récit. Concernant la couverture, illustrée par Emile Denis, je la trouve pour ma part très réussie. Je ferai juste un point concernant le travail mené sur cette édition, je ne suis pas la personne qui remarque le plus les fautes et erreurs de typo, mais là une relecture aurait clairement été un plus je trouve.

Argent Animal – Michael Cisco

Résumé : Lors d’une conférence sur la finance en Amérique du Sud, une idée germe dans l’esprit de cinq économistes : l’argent animal. Cette nouvelle monnaie serait vivante et donc capable de se reproduire. Mais l’idée n’est pas accueillie avec enthousiasme par tout le monde et les cinq économistes vont être la cible de calomnies, de menaces et d’attaques.
Dès lors le climat de tension et de mystère qui marque le début d’Argent animal n’a de cesse de s’épaissir, le roman alternant rêves, délires, considérations philosophiques ou économiques… Les histoires s’engendrent les unes les autres, à l’infini, de la même façon que l’argent animal croît sans cesse et se multiplie, envahissant le monde.

Edition : Au Diable Vauvert

 

Mon Avis : Concernant ce roman, il a terminé dans ma PAL franchement par hasard et sur un coup de tête. C’est bien simple j’ai entendu parler de ce livre il y a quelques mois, quand Jeff VanderMeer en a fait la promotion en mettant en avant que Michael Cisco se classait comme une référence dans la Weird littérature. C’est le genre de commentaire qui a alors titillé ma curiosité et je me suis logiquement renseigné pour savoir de quoi il parlait exactement. J’avoue, je me suis retrouvé intrigué par le quatrième de couverture et j’ai décidé de tenter ma chance et de le découvrir, tout en ne sachant pas réellement dans quoi je me lançais au du côté étrange. Concernant l’illustration de couverture, elle a un petit quelque-chose d’insolite qui, je trouve, colle parfaitement au genre de la littérature Weird.

Les Attracteurs de Rose Street – Lucius Shepard

Résumé : Londres, fin du XIXe siècle.
Une métropole enfumée, étouffant sous le smog et les remugles de l’industrialisation en pleine explosion… Samuel Prothero est aliéniste. L’un des meilleurs de sa profession. Membre du sélect Club des Inventeurs, jeune homme respecté, son avenir est tout tracé dans cette société victorienne corsetée. Jusqu’à ce que Jeffrey Richmond, inventeur de génie mais personnage sulfureux, sollicite son expertise sur le plus étrange des cas. Troublante mission, en vérité, pour laquelle le jeune Prothero devra se résoudre à embrasser tout entier l’autre côté du miroir, les bas-fonds de la ville-monde impériale et ceux, bien plus effrayants encore, de l’âme humaine…

 

Edition : Le Bélial

 

Mon Avis : Pour ceux qui suivent ce blog depuis le début, vous devez avoir compris que je suis un admirateur des écrits de Lucius Shepard, avec un vrai coup de coeur pour ses écrits tournant autour de Griaule. Concernant cette dernière novella, j’ai aussi été rapidement intrigué par le résumé qui laissait présager un fantastique qui me paraît de moins en moins présent dans les publications. Ajouter à cela le fait que je ne rate jamais une publication de la collection Une Heure Lumière du Bélial’, cette novella ne pouvait donc que terminer dans ma PAL. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve superbe.

Le Papillon – Andrus Kivirähk

Résumé : Estonie, début du XXe siècle. Un soir, au sortir de l’usine dans laquelle il travaille, August rencontre par hasard le directeur du théâtre l’Estonia. Il quitte son emploi d’ouvrier et intègre la troupe, qui s’avère aussi loufoque qu’hypersensible : Pinna, le fondateur, les comédiens Alexander, Eeda, Sällik, Oskar… mais aussi Erika, sa future femme, qui rejoint le théâtre peu de temps après lui. Elle symbolisera le Papillon, l’emblème du théâtre, en lui insufflant la légèreté dont le début de siècle prive le pays. Les planches de l’Estonia sont bientôt le seul lieu où la liberté et l’amour peuvent encore résonner, où les rires de l’amitié, les jeux et l’espièglerie ont encore leur place. Mais le théâtre, comme le papillon, est gracile : la brutale réalité du monde s’y invite, et, aux alentours, le chien gris qui la représente rôde et menace de soumettre cette troupe de rêveurs solidaires à la violence, à la séparation et à la mort.

Edition : Le Tripode

 

Mon Avis : Andrus Kivirähk est un auteur que j’ai découvert il y a bien quatre ans maintenant avec son roman L’Homme qui Savait la Langue des Serpents, premier livre publié en VF mais dernier édité dans la chronologie de l’auteur. Il m’avait offert un excellent moment de lecture, fascinant dans son imaginaire avec de nombreuses réflexions intéressantes (ma chronique ici). Je m’étais assez rapidement tenté par son second livre publié en VF Les Groseilles de Novembre (Chronique de quelques détraquements dans la contrée des Kratts), qui m’avait lui aussi offert un très bon moment de lecture, même si moins percutant (ma chronique ). Il était donc logique que je me laisse facilement tenter par la dernière publication VF de l’auteur, s’agissant finalement, si je ne me trompe pas, d’un de ses premiers roman en VO, même si c’est vrai le livre a un peu trainer dans ma PAL. Concernant la couverture, illustrée par Denis Dubois, elle est dans la même lignée que les autres de l’auteur et je la trouve très réussie.

Déchirés – Peter Stenson

Résumé : Accro à la méthamphétamine, Chase Daniels est un junkie minable sans cesse en quête d’un nouveau fix. Quand il se réveille un beau matin pour voir une fillette déchiqueter un Rottweiler, il ne s’inquiète pas plus que ça. Ouais, peut-être qu’il devrait.
Car la fin des temps est là : les rues grouillent de zombies avides de chair humaine, et survivre est devenu un objectif à très court terme. Mais que signifie l’apocalypse, se demande Chase, quand la société a déjà tiré sur vous un trait définitif ? Et cette malédiction, qui semble toucher tout le monde sauf lui et son ami Typewriter, n’est-elle pas l’occasion qu’il attendait… celle de prendre un nouveau départ et d’accomplir enfin quelque chose de grandiose ?
Dans un monde livré au chaos et aux flammes, le « nouveau » Chase Daniels, perdu dans ses rêves de rédemption et d’amour fou, se met en tête de retrouver son ex-petite amie et de la sauver. Les règles du jeu ont changé : désormais, c’est tuer, ou être tué, fuir sans penser au lendemain. Hanté par les fantômes du passé, dévoré par le manque, Chase ne court-il pas au-devant de sa dernière désillusion ?

Edition : Super 8

 

Mon Avis : Je continue à faire sortir des livres qui traînent dans ma PAL depuis un long moment maintenant. D’ailleurs je me rends compte que j’avais plusieurs romans de la maison d’édition Super 8 qui se cachaient dans le fin fond de ma PAL. J’ai donc cette fois jeté mon dévolu sur Déchirés, un roman au quatrième de couverture intrigant, mélangeant acros à la drogue et zombies et j’avoue j’étais intéressé de savoir ce qu’allait bien pouvoir proposer l’auteur. Surtout que je ne connaissais rien de Peter Stenson avant de me lancer dans cette lecture. Concernant la couverture, visuellement elle reste sympa, même si elle ne colle pas complètement au récit je trouve.

Rouge Toxic – Morgane Caussarieu

Résumé : Je m’appelle Faruk, et pour subsister, il me faut boire votre sang.
Je vivais tranquillement ma non-vie dans les bas-fonds de San Francisco, quand ce type a débarqué pour me confier une mission difficile à refuser.
Me voilà sur les bancs de Mission High School, à suivre comme une ombre Barbie, une orpheline aussi intrigante que réfractaire à mes charmes. Et croyez moi, survivre dans la jungle du lycée, ce n’est pas de tout repos, même pour un vampire. Surtout pour un vampire…
Mais d’elle ou de moi, qui sera le plus toxique ?

Edition : Naos

 

Mon Avis : J’ai découvert, il y a plusieurs années maintenant, Morgane Caussarieu avec son premier roman Dans Les Veines qui venait remettre au goût du jour le vampire violent, sombre, sanglant dans une période où la romance vampirique dominait le marché (ma chronique ici). Son second roman dans le même univers, Je Suis ton Ombre, se révélait tout aussi réussi et percutant, bien porté toujours par des personnages loin des clichés et loin d’être manichéens (ma chronique ). Il était donc logique que je fasse très rapidement entrer ce roman, qui se situe toujours dans le même univers, dans ma PAL, même si cette fois l’autrice quitte un peu la littérature pour adulte pour un récit peut-être un peu plus grand public. À noter que ce livre peut être lu de façon indépendante sans soucis. Concernant la couverture, elle possède un petit côté sympathique je trouve, avec ce mélange principalement de noir et de rouge.

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