Résumé : L’humanité a colonisé le système solaire au bénéfice de consortiums privés omnipotents régnant sur les transports spatiaux. Et ce jusqu’à la plus infernale des planètes, Vénus, dans l’atmosphère létale de laquelle flottent de stupéfiantes cités volantes, véritables miracles de technologie high tech. Plusieurs milliers d’entre elles sont sous la coupe d’un seul et même individu, Carlos Fernando Delacroix Ortega de la Jolla y Nordwald-Gruenbaum, le sultan des nuages, qui n’entrera en pleine possession de son héritage qu’une fois marié, et dont l’immense pouvoir attire toutes les convoitises. Pour David Tinkerman et le Dr Léa Hamakawa, scientifiques récemment arrivés de Mars en vue d’une expertise, les forces souterraines à l’œuvre autour du jeune satrape vont vite s’avérer plus mortelles que Vénus elle-même…

Edition : Le Bélial’

 

Mon Avis : Je continue ma découverte de la collection Une Heure Lumière du Bélial’ avec cette fois un auteur dont j’ai déjà entendu parler, principalement à travers des sommaires d’anthologies en VO, mais dont je n’avais pourtant encore lu aucun texte. Ce Sultan des Nuages sera donc ma première plongée dans l’univers de Geoffrey A. Landis, puis cela me permet aussi de compléter ma collection dont je n’ai, pour le moment, manquer aucune publication, offrant des textes courts et intéressants. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve magnifique et elle donne envie de plonger dans le récit. A noter que ce texte a gagné le prix Theodore Sturgeon 2011