Résumé : Mai 1942.
Reinhard Heydrich se meurt dans un hôpital de Prague. à moins que… Le monde est à feu et à sang, l’humanité se consume dans les affres d’une guerre comme elle n’en a jamais connu. Dans le chaos du conflit qui déchire le monde d’hier s’esquisse déjà celui de demain, mais les véritables enjeux de cette boucherie planétaire se dévoilent enfin — bien plus cruciaux que tout ce qu’il était possible d’imaginer. Un futur que l’ancien SS Friedrich Saxhäuser refuse, qu’il ne permettra pas. Désormais coule dans ses veines l’impensable puissance révélée au cœur du Kurdistan irakien. Un pouvoir tel qu’il pourrait bien provoquer ce que, dans les secrets méandres du complot, tous redoutent : le crépuscule des dieux…

Edition : Le Bélial’

 

Mon Avis : Il y a un peu plus de deux ans, je me suis lancé dans le premier tome de cette tétralogie sans franchement savoir dans quoi je me lançais. Je m’étais, à l’époque, laissé par convaincre par les différents retours, un résumé intrigant et une couverture accrocheuse. Trois tomes plus tard je dois bien admettre que je suis bien content de m’être lancé dans ce cycle qui n’était pas sans rappeler certaines séries SF, mélange de phénomènes paranormaux et de conspirations, qui ont accompagné mon adolescence. C’est donc logique que je me sois rapidement laissé tenter par ce quatrième tome qui vient conclure ce cycle, en me demandant comment allait s’en sortir l’auteur. Concernant la couverture, toujours illustrée par Aurélien Police, je la trouve superbe.