Résumé : Un immense château…
On n’y entre pas plus qu’on n’en sort. On y naît, on y vit, puis on y meurt. Un monde clos de murailles infranchissables, chapeauté d’un éteignoir de grisaille. Certains ont l’illusion d’un nid somme toute douillet, d’autres ragent d’habiter une prison. Dulvan et son ami Garicorne appartiennent à ces derniers. Sans savoir ce qu’est vraiment le Grand Dehors, ils aspirent à en percer les mystères et rêvent d’une existence tout autre. Mais, pour ce faire, il convient de faire tomber l’enceinte géante, c’est-à-dire se rendre dans la salle-territoire de l’éternel hiver afin d’arracher la Sommeilleuse à ses songes. Comme le racontent les vieux récits, l’énigmatique endormie est-elle cependant bien une déesse dont les errances oniriques ont fait que le château et tout son contenu soient devenus réalité ?

Editions : Les Moutons Electriques

 

Mon Avis : De Brice Tarvel je n’avais encore jamais lu aucun de ces romans avant de me lancer dans Pierre-Fendre. L’auteur ne m’était pas pour autant inconnu, j’avais  été tenté par la découverte de son diptyque publié chez Mnémos, Ceux des Eaux Mortes, sans qu’il ne rejoigne pour autant ma PAL. J’ai aussi lu deux de ses nouvelles dans des Anthologies du festival Imajn’ère. Concernant ce livre j’avoue que la communication mise en place par l’éditeur, associée à un résumé qui ne manquait pas d’attrait m’ont convaincu de lui laisser une chance. Ajouter à cela une couverture, illustrée par Melchior Ascaride, que je trouve superbe il a par conséquent rejoint rapidement ma bibliothèque. Pour éviter de le voir se perdre dans ma PAL de plus en plus incontrôlable j’ai donc décidé il y a quelques jours de lui laisser sa chance et voir ce qu’allait bien proposer l’auteur.