Étiquette : science-fiction Page 2 of 48

String City – Graham Edwards

Résumé : THE UNIVERSE IS MADE OF STRING. WHEN THE KNOTS TIGHTEN, THE COSMOS QUAKES.
It’s a tough job being a gumshoe in an interdimensional city full of gods, living concepts and weirder things. Good thing I’m a stringwalker, able to jump between realities.
It started when I was hired to investigate an explosion at a casino. A simple heist, I thought, but it turned into a race to stop the apocalypse. So I rolled the dice, and now I’m up against the ancient Greek Titans, an interdimensional spider god and a mysterious creature known as the Fool. I’m going to need more than just luck to solve this one.
If I fail, all things—in all realities—could be destroyed.
Just another day in String City.

 

Edition : Solaris

 

Mon Avis : Je me suis laissé tenter par ce roman un peu sur un coup de tête, suite à plusieurs posts de comm de l’éditeur que j’ai vu passer sur mes différents fils de réseaux sociaux. Je me suis ainsi retrouvé rapidement attiré par le résumé qui avait l’air de présenter un récit qui ne manquait pas d’imagination et de pep’s. Je ne connaissais rien de l’auteur avant de me lancer dans la lecture de ce récit, mais le site développé pour offrir un côté un peu transmédia au roman, même s’il est un peu « kitsch » a continué à titiller ma curiosité et de voir ce qu’il pouvait bien proposer. Concernant la couverture, illustrée par Vince Haig, je la trouve plutôt sympathique et qui met dans l’ambiance.

Les Chants de la Terre Lointaine – Arthur C. Clarke

Résumé : La Terre se meurt et les derniers représentants de l’espèce humaine prennent place à bord du Magellan pour un voyage de plusieurs centaines d’années. Au cours d’une escale sur une planète-océan colonisée longtemps auparavant par des vaisseaux-semeurs, l’équipage du Magellan rencontre des humains pour qui la Terre n’est déjà plus qu’un lointain souvenir, une légende.

Edition : Audible

 

Mon Avis : Je continue ma découverte, grâce aux audio-livres, de classiques de l’imaginaire et aussi ma plongée dans les écrits de l’auteur Arthur C. Clarke, que j’ai très peu lu finalement. Après Rama, dont le premier tome m’avait emporté, mais où le second m’avait un peu laissé de côté, je me lance cette fois dans Les chants de la Terre Lointaine qui est souvent cité dans les grands classiques à lire de l’auteur, tout du moins dans les articles anglophones que j’ai vu passer. Concernant la narration de Slimane-Baptiste Berhoun elle est agréable, mais légèrement plombé, je trouve, par les musiques de transition entre chaque chapitre complètement en décalage du récit. On a un récit qui se base sur la construction et un rythme lent et on nous met une musique qui cherche plus le côté un peu épique. Certes, rien de bien méchant, mais c’est étonnant.

Mers Mortes – Aurélie Wellenstein

Résumé : Les humains ont massacré les mers et les océans. L’eau s’est évaporée ; les animaux sont morts.
Quelques années plus tard, les mers et les océans reviennent. Ils déferlent sur le monde sous la forme de marées fantômes et déplacent des vagues de poissons spectraux, tous avides de vengeance. Les fantômes arrachent leurs âmes aux hommes et les dévorent. Bientôt, les humains eux aussi seront éteints… Leur dernier rempart face à la mort : les exorcistes.
Caste indispensable à l’humanité, les exorcistes sont bien entendu très convoités.
L’un d’eux, Oural, va se faire kidnapper par une bande de pirates qui navigue sur les mers mortes à bord d’un bateau fantôme.
Voilà notre héros embarqué de force dans une quête sanglante et obligé, tôt ou tard, de se salir les mains…

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : J’ai découvert Aurélie Wellenstein il y a quelques années maintenant, avec son premier roman : Le Roi des Fauves. J’avais passé un très bon moment, le livre offrant une histoire assez simple dans les grandes lignes, mais qui ne manquait pas de se révéler prenante, incisive et percutante. Depuis je n’ai raté quasiment aucune nouvelle publication de l’autrice, qui m’ont toujours accroché, offrant à chaque fois des récits sombres et efficaces. C’est donc sans surprise que je me suis laissé tenter par son tout dernier roman : Mers Mortes. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve, comme souvent avec le travail de l’illustrateur, franchement magnifique.

Teixcalaan Book 1, A Memory Called Empire – Arkady Martine

Résumé : Ambassador Mahit Dzmare arrives in the center of the multi-system Teixcalaanli Empire only to discover that her predecessor, the previous ambassador from their small but fiercely independent mining Station, has died. But no one will admit that his death wasn’t an accident–or that Mahit might be next to die, during a time of political instability in the highest echelons of the imperial court.
Now, Mahit must discover who is behind the murder, rescue herself, and save her Station from Teixcalaan’s unceasing expansion–all while navigating an alien culture that is all too seductive, engaging in intrigues of her own, and hiding a deadly technological secret–one that might spell the end of her Station and her way of life–or rescue it from annihilation.

Edition : Tor

 

Mon Avis : Ce roman, j’en entends parler depuis un an maintenant, depuis que l’éditeur Tor en a dévoilé la couverture ainsi que le résumé. Alors, j’avoue, j’ai tout de suite été attiré par l’illustration de couverture, réalisée par Jaime Jones, que je trouve franchement magnifique, mais le résumé ainsi que les différentes informations que j’avais glané autour ont terminé de me convaincre de lire ce roman. En effet une Science-Fiction Space-Opera qui prend comme référence l’empire Byzantin a eu de quoi m’intriguer et me donner clairement envie de voir ce que cela pouvait donner. A noter qu’il s’agit du premier roman de l’autrice qui avait surtout publié des nouvelles.

The Wormwood Trilogy Book 2, The Rosewater Insurrection – Tade Thompson

Résumé : All is quiet in the city of Rosewater as it expands on the back of the gargantuan alien Wormwood. Those who know the truth of the invasion keep the secret.
The government agent Aminat, the lover of the retired sensitive Kaaro, is at the forefront of the cold, silent conflict. She must capture a woman who is the key to the survival of the human race. But Aminat is stymied by the machinations of the Mayor of Rosewater and the emergence of an old enemy of Wormwood…

Edition : Orbit

 

Mon Avis : Il y a quelques mois, après avoir beaucoup entendu parler de ce cycle, je m’étais lancé dans la lecture du premier tome qui m’avait offert un excellent moment de lecture. Que ce soit par la construction de son univers, comme à travers le développement son intrigue, j’avais été rapidement happé par cette introduction et la révélation finale efficace m’avait clairement envie de découvrir la suite (ma chronique ici). C’est donc sans surprise qu’au moment de la publication de ce second tome, je me sois rapidement lancé dans sa lecture en me demandant ce qu’allait proposer l’auteur avec cette suite. Concernant la couverture, elle est dans le même ton que celle du premier tome, sympathique et colorée, avec un petit côté organique. Par contre, je préviens d’avance, je risque un peu de spoiler les révélations du premier tome, même si le résumé de ce tome le fait déjà d’une certaine façon.

Helstrid – Christian Léourier

Résumé : Certains mondes ne sont pas faits pour l’humanité : Helstrid est de ceux-là. Des températures de -150 °C ; des vents de 200 km/h ; une atmosphère toxique. Pourtant, la Compagnie tient à exploiter ses énormes ressources en minerai, appâtant les volontaires à l’exil à grand renfort de gains conséquents. Des hommes et des femmes à l’image de Vic, qui supervise le travail de prospection et d’exploitation des machines. Un job comme un autre, finalement, et qui vaut toujours mieux que d’affronter son passé laissé sur Terre… Jusqu’à ce que le porion soit contraint d’accompagner un convoi chargé de ravitailler un avant-poste à plusieurs centaines de kilomètres de la base principale. Un trajet dangereux, mais les IA sont là pour veiller à la bonne marche des véhicules suréquipés et à la protection du seul humain embarqué. Dans pareilles conditions, tout ne peut que se passer au mieux…

Edition : Le Bélial’

 

Mon Avis : Je continue ma découverte des oeuvres de la collection Une Heure Lumière de chez l’éditeur Le Bélial’, qui propose de faire découvrir des textes plutôt courts, mais plein d’ambition et de richesse. Cette fois l’éditeur nous propose une novella de Christian Léourier, auteur qui m’avait captivé avec son cycle Lanmeur, publié chez (feu) les éditions Ad Astra, qui offre des textes que je trouve riches, poétiques et franchement fascinants. J’avais hâte de voir ce que l’auteur allait proposer avec ce nouveau texte, surtout que le quatrième de couverture ne manquait pas de s’avérer intriguant. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve superbe.

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