Catégorie : Fantastique Page 1 of 24

Le Jeu de la Damnation – Clive Barker

Résumé : Joseph Whitehead est un vieux millionnaire au passé trouble. Un secret le hante depuis la seconde guerre mondiale. Depuis cette fameuse nuit où il fit la connaissance de Mamoulian, le joueur qui ne perd jamais. Et où, dans Varsovie à feu et à sang, ils s’affrontèrent le temps d’une partie dont nul ne sut l’enjeu ni l’issue. Mais aujourd’hui, Whitehead a peur. Car Mamoulian est de retour et, avec lui, les cauchemars et la mort. Joseph engage alors un garde du corps, Marty Strauss. Mais rien n’arrête Mamoulian. Quel fut le vainqueur de cette partie qui, à jamais, lia Whitehead au joueur de cartes ? Et surtout, qui est Mamoulian ?

Edition : Albin Michel
Poche : J’ai Lu

Mon avis : Il va être difficile d’écrire cette chronique. Non pas que mon ressenti concernant ce roman soit compliqué à retranscrire, mais je ne vais pas cacher que ce roman m’a replongé (certes très doucement) dans la lecture. Cela faisait des années que je regardais mes livres, tentait d’en démarrer un et n’arrivait à rien (faute à de multiple facteurs extérieurs). Puis est arrivé ce livre de Clive Barker, trouvé dans une boîte à livre, que j’ai réussi à finir. Sans qu’il me tombe des mains, sans râler, sans protester. C’était une petite victoire. Certes, il m’a bien fallu plus de deux mois pour le lire, mais à chaque fois que je replongeai dans ce livre c’était avec plaisir. Par conséquent Le Jeu de la Damnation aura un petit côté à part.

Le Dieu dans L’Ombre – Robin Hobb

Résumé : Evelyn a vingt-cinq ans, un époux, une belle famille et un enfant de cinq ans.
Quand elle était jeune fille, elle avait la compagnie des forêts de l’Alaska, de la poésie de la nature et de Pan, un faune mystique.
Un jour, il disparut.
Elle n’aurait jamais cru que la créature irréelle surgirait à nouveau dans sa vie et agiterait en elle ces émotions fantasmatiques et sensuelles.
A mi-chemin entre la civilisation et la nature, sous le couvert des arbres glacés, Evelyn devra faire face à des choix terribles. Trouvera-t-elle son chemin dans l’ombre ?

Edition : Actu SF

Mon Avis : Allez, je continue à tenter de rattraper mes chroniques en retard, même si ce n’est pas obligatoirement facile, manquant quand même de motivation à chroniquer. Bon, vue que je manque de motivation pour lire ça compense, je ne prend pas trop de retard. Cette fois je vais vous parler du livre Le Dieu dans l’Ombre de Megan Lindholm plus connu sous le nom de Robin Hobb. J’avoue je ne connaissais pas trop ce roman de l’autrice, par conséquent quand on m’a proposé de le découvrir, j’ai rapidement accepté, surtout que le résumé différait quand même clairement des récits que je lis habituellement d’elle. À noter aussi la magnifique illustration de couverture de Lucian Stanculescu qui, je trouve, colle parfaitement bien au récit et donne envie.

Mers Mortes – Aurélie Wellenstein

Résumé : Les humains ont massacré les mers et les océans. L’eau s’est évaporée ; les animaux sont morts.
Quelques années plus tard, les mers et les océans reviennent. Ils déferlent sur le monde sous la forme de marées fantômes et déplacent des vagues de poissons spectraux, tous avides de vengeance. Les fantômes arrachent leurs âmes aux hommes et les dévorent. Bientôt, les humains eux aussi seront éteints… Leur dernier rempart face à la mort : les exorcistes.
Caste indispensable à l’humanité, les exorcistes sont bien entendu très convoités.
L’un d’eux, Oural, va se faire kidnapper par une bande de pirates qui navigue sur les mers mortes à bord d’un bateau fantôme.
Voilà notre héros embarqué de force dans une quête sanglante et obligé, tôt ou tard, de se salir les mains…

Edition : Scrinéo

 

Mon Avis : J’ai découvert Aurélie Wellenstein il y a quelques années maintenant, avec son premier roman : Le Roi des Fauves. J’avais passé un très bon moment, le livre offrant une histoire assez simple dans les grandes lignes, mais qui ne manquait pas de se révéler prenante, incisive et percutante. Depuis je n’ai raté quasiment aucune nouvelle publication de l’autrice, qui m’ont toujours accroché, offrant à chaque fois des récits sombres et efficaces. C’est donc sans surprise que je me suis laissé tenter par son tout dernier roman : Mers Mortes. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve, comme souvent avec le travail de l’illustrateur, franchement magnifique.

Hildegarde – Léo Henry

Résumé : Le roman sur la vie d’Hildegarde de Bingen et son époque Religieuse, visionnaire, scientifique, poétesse et compositrice, l’abbesse Hildegarde de Bingen n’a cessé, depuis sa mort, d’inspirer femmes et hommes. Figure totale du Moyen-âge européen, elle déborde des limites du 12è siècle et de la vallée Rhin où elle vécut : depuis sa berge de fleuve, entre Mayence et Cologne, Hildegarde rayonne sur l’univers entier. Née au moment où la première Croisade arrive à Jérusalem, elle meurt tandis que naissent les premiers chevaliers de romans. À son expérience de femme de pouvoir, son œuvre mêle observations et visions, unissant sous une même énergie vitale les mondes réels, imaginaires et divins.

Léo Henry crée, autour de Hildegarde, un livre-monde qui emprunte ses formes autant au récit épique, qu’à l’hagiographie ou au roman picaresque. Une fresque, qui court de la création du monde à l’Apocalypse, et explore l’intrication du temps qui passe et des histoires que nous nous racontons.

Edition : La Volte

 

Mon Avis : De Léo Henry, j’ai déjà lu plusieurs de ces livres, que ce soit ses romans ou bien encore ses recueils de nouvelles. J’ai toujours trouvé que l’auteur possédait une imagination particulière et originale, le tout porté par une plume efficace et envoutante. Alors parfois, il m’arrivait de passer à côté d’un texte, mais je trouve toujours qu’il y avait quelque-chose qui se dégageait de ses écrits. Pour autant je ne savais pas trop si j’allais me laisser tenter par ce Hildegarde, la vie de la sainte ne m’intéressant pas obligatoirement. Pour autant, lors des dernières Imaginales et après une discussion avec l’auteur j’ai quand même décidé de tenter ma chance avec ce livre et de voir ce qu’il allait proposer. Concernant la couverture, je la trouve sobre et très réussie, attirant facilement le regard.

Sumerki – Dmitry Glukhovsky

Résumé : Quand Dmitry Alexeïevitch, traducteur désargenté, insiste auprès de son agence pour obtenir un nouveau contrat, il ne se doute pas que sa vie en sera bouleversée. Le traducteur en charge du premier chapitre ne donnant plus de nouvelles, c’est un étrange texte qui lui échoit : le récit d’une expédition dans les forêts inexplorées du Yucatán au XVIe siècle, armée par le prêtre franciscain Diego de Landa. Et les chapitres lui en sont remis au compte-gouttes par un mystérieux commanditaire. Aussi, quand l’employé de l’agence est sauvagement assassiné et que les périls relatés dans le document s’immiscent dans son quotidien, Dmitry Alexeïevitch prend peur. Dans les ombres du passé, les dieux et les démons mayas se sont-ils acharnés à protéger un savoir interdit ? À moins, bien entendu, que le manuscrit espagnol ne lui ait fait perdre la raison. Alors que le monde autour de lui est ravagé par des ouragans, des séismes et des tsunamis, le temps est compté pour découvrir la vérité.

Edition : L’Atalante

Mon Avis : Dmitry Glukhovsky ne m’est pas un auteur inconnu, ayant déjà lu deux de ces romans. Je l’ai ainsi d’abord découvert avec Métro 2033 qui m’avait offert un bon moment de lecture avec un récit post-apocalyptique efficace et percutant (ma chronique ici). Ensuite, j’ai lu de l’auteur Futu.re que j’avais trouvé très bon avec sa vision de l’avenir proposée et les questions qu’il venait soulever, avec un protagoniste, anti-héros assez déroutant (ma chronique ). Concernant Sumerki, par contre, il a sans raison particulière un peu trainé dans ma PAL. Je trouvais le résumé différent des autres écrits de l’auteur et j’ai mis un peu de temps avant de me laisser tenter à le découvrir. Concernant la couverture, illustrée par Raphaël Defossez, je la trouve très sympathique.

Bedfellow – Jeremy C. Shipp

Résumé : When the . . . thing first insinuated itself into the Lund family household, they were bemused. Vaguely human-shaped, its constantly-changing cravings seemed disturbing, at first, but time and pressure have a way of normalizing the extreme. Wasn’t it always part of their lives?
As the family make more and greater sacrifices in service to the beast, the thrall that binds them begins to break down. Choices must be made. Prices must be paid. And the Lunds must pit their wits against a creature determined to never let them go.
It’s psychological warfare. Sanity is optional.

Edition : Tor

Mon Avis : Cette novella a clairement terminé dans ma PAL sur un coup de tête. C’est bien simple, avant de me lancer dans la lecture de Bedfellow je ne connaissais rien de l’auteur qui a quelques nouvelles et novella à son actif. C’est au moment de sa sortie, où j’ai vu passer différentes informations promotionnelles sur différents réseaux sociaux, que j’ai été titillé par ce livre. J’avoue qu’à ce moment que j’avais envie d’un peu de lectures pleines de frissons. Ajouter à un résumé intrigant et aussi à une couverture, illustrée par Greg Ruth, qui donnait envie, je l’ai donc fait rapidement entrer dans ma bibliothèque.

Page 1 of 24

© 2010 - 2025 Blog-o-Livre