Résumé : Il y avait un temps où l’on savait écrire, et surtout où l’on savait créer le plus miraculeux des matériaux : le papier. Cependant, le secret de sa fabrication s’est depuis longtemps perdu. Désormais, des centaines de Musiciens parcourent les Terres Hautes, indifférents aux limites des domaines et des fiefs, pour récolter des histoires. Bertram le Baladin, célèbre musicien de la Guilde, a perdu son luth – ou plutôt, on le lui a dérobé. Bien décidé à le retrouver, il est contraint de s’associer avec une femme, Sans-Nom, témoin du larcin. C’est ainsi que l’étrange duo part en quête du luth, dans un monde où la magie réside dans toutes les histoires : ragots, chansons ou légendes.

Edition : Critic

 

Mon Avis : J’ai découvert Camille Leboulanger il y a maintenant 6 ans déjà avec la publication de son premier roman : Enfin la Nuit. Il s’agissait d’un roman post-apocalyptique qui m’avait offert un bon moment de lecture, cherchant principalement à nous faire réfléchir sur notre société et sur nous-mêmes, plus qu’à offrir de l’action et de la sauvagerie (ma chronique ici). Je l’admet, depuis tout ce temps, je pensais que l’auteur s’était un peu éloigné de l’écriture et ce fut donc une petite surprise que de voir les éditions Critic annoncer la publication de son nouveau roman il y a quelques semaines. J’ai été rapidement intrigué par le quatrième de couverture et par conséquent, quand Babelio a proposé ce roman dans son dernier masse critique j’ai décidé de tenter ma chance et eut la chance d’être sélectionné. Je remercie donc Babelio et les éditions Critic de m’avoir permis de découvrir ce livre. Concernant la couverture, illustrée par Alain Brion, je la trouve très sympathique.