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Les Seigneurs de Bohen – Estelle Faye

Résumé : Je vais vous raconter comment l’Empire est mort.
L’Empire de Bohen, le plus puissant jamais connu, qui tirait sa richesse du lirium, ce métal aux reflets d’étoile, que les nomades de ma steppe appellent le sang blanc du monde. Un Empire fort de dix siècles d’existence, qui dans son aveuglement se croyait éternel.
J’évoquerai pour vous les héros qui provoquèrent sa chute. Vous ne trouverez parmi eux ni grands seigneurs, ni sages conseillers, ni splendides princesses, ni nobles chevaliers… Non, je vais vous narrer les hauts faits de Sainte-Étoile, l’escrimeur errant au passé trouble, persuadé de porter un monstre dans son crâne. De Maëve la morguenne, la sorcière des ports des Havres, qui voulait libérer les océans. De Wens, le clerc de notaire, condamné à l’enfer des mines et qui dans les ténèbres découvrit une nouvelle voie… Et de tant d’autres encore, de ceux dont le monde n’attendait rien, mais qui malgré cela y laissèrent leur empreinte.
Et le vent emportera mes mots sur la steppe. Le vent, au-delà, les murmurera dans Bohen. Avec un peu de chance, le monde se souviendra.

Edition : Critic

 

Mon Avis : Estelle Faye est une auteure que je suis régulièrement les nouvelles publications qui m’ont toujours fait passer de bons moments. Elle ne m’a jamais vraiment déçu, proposant des textes divers et variés dans les différents genres de l’imaginaire. Je n’allais donc pas passer à côté de son dernier roman. Par conséquent quand j’ai vu que le site de Book en Stock proposait un partenariat pour Le Mois De consacrée à l’auteur, j’ai décidé de tenter ma chance et eu la chance d’être sélectionné. Je les remercie ainsi que les les éditions Critic pour m’avoir permis de découvrir ce livre. Concernant la couverture, illustrée par Marc Simonetti, je la trouve franchement magnifique. A noter qu’il s’agit d’un one-shot, donc pas de grands cycles en vues, même si l’auteur se laisse des clés pour, pourquoi pas, revenir dans l’univers.

The Stormlight Archive Book 2, Words of Radiance – Brandon Sanderson

Résumé : The Knights Radiant must stand again.
The ancient oaths have at last been spoken; the spren return. Men seek that which was lost. I fear the struggle will destroy them.
It is the nature of the magic. A broken soul has cracks into which something else can be fit. Surgebindings, the powers of creation themselves. They can brace a broken soul; but they can also widen its fissures.
The Windrunner, lost in a shattered land, balanced upon the boundary between vengeance and honor. The Lightweaver, slowly being consumed by her past, searching for the lie that she must become. The Bondsmith, born in blood and death, striving to rebuild what was destroyed. The Explorer, straddling the fates of two peoples, forced to choose between slow death and a terrible betrayal of all she believes.
It is past time for them to awaken, for the Everstorm looms.
And the Assassin has arrived.

Edition : Gollancz

 

Mon Avis : Si vous suivez mon blog régulièrement, vous devez savoir que Brandon Sanderson fait partie des auteurs de Fantasy que je suis et dont les livres finissent facilement et régulièrement dans ma PAL. The Stormlight Archive s’annonce d’ailleurs comme un sacré cycle, puisque 10 tomes sont (normalement) prévus. Cela en fait de la lecture ! Le premier offrait une lecture  efficace, prenante et surprenante (ma chronique de la partie 1, de la partie 2) et j’avais donc hâte de me lancer dans la suite. Alors après, j’avoue, au vu de la taille du livre (environ 1100 pages) il a un peu trainé dans ma PAL. C’est pas obligatoirement le genre de livre que je promène dans les transports. Par contre, ma chronique risque de spoiler le premier tome, même si je vais limiter au maximum.

Kel Tome 4, Le Général Taureau – Andréa Schwartz

Résumé : Au nord, les Kel’yon ; au sud, les Kel’bai – et entre eux dix mille ans de rivalité… À travers le continent de Kaek’tun, les trompettes des Deux-Empereurs annoncent une nouvelle guerre. Kel’yon et Kel’bai, Noble et Fils du Peuple, Oshin Ieran est né à la frontière entre mille mondes. Ni d’un côté ni de l’autre, il s’efface dans l’obscurité appropriée pour ceux de son sang. Mais la déesse Destin est une divinité capricieuse – et la déesse Honneur, vénérée par les Kel’yon et les Kel’bai, est plus cruelle encore. Les cors du Dragon et du Phénix tonnent à travers le Continent et en pays kel’bai, le sang-mêlé du nord est appelé à brandir un drapeau que jamais il n’avait imaginé porter, pour défendre ceux que jamais il n’avait imaginé protéger.

Edition : Rebelle

Mon Avis : Il y a quelques années maintenant on m’a proposé de découvrir cette série de Fantasy. Je m’étais facilement laissé tenter, malgré le côté un peu classique du résumé du premier tome et j’avais été agréablement surpris tant l’histoire s’avérait solide, captivante et entraînante (ma chronique ici). Les tomes 2 et 3 venaient confirmer le bien que je pensais de cette série, se révélant même plus denses et plus aboutis encore à mon goût (chronique du tome 2, du tome 3). C’est donc sans surprise que je me suis rapidement lancé dans la lecture de ce quatrième volume et, malgré ce que je pensais, avant-dernier tome de la série. En effet un cinquième tome devrait être publié. Concernant la couverture, elle reste dans le même thème que les précédentes et je la trouve très sympathique.

Miriam Black Tome 1, Blackbird – Chuck Wending

Résumé : Miriam Black a un don, elle sait quand la mort frappera à votre porte. Âgée d’une vingtaine d’années, elle a déjà vu des centaines de morts aux causes diverses et variées : accidents, suicides, maladies…Quand Miriam monte dans le camion de Louis Darling, qui l’a prise en stop, elle lui serre la main et elle voit que dans trente jours, il sera monstrueusement assassiné et prononcera son nom avant de mourir. Miriam avait abandonné l’idée d’essayer de sauver les gens : cela ne faisait que précipiter leur mort. Pourtant, elle va devoir essayer…

Edition : Eclipse Panini Books

 

Mon avis : Bon j’avoue, parfois devant un cycle de fantasy urbaine, j’ai du mal à résister. J’ai un petit faible pour ce genre qui, certes je le sais, ne révolutionnera pas le système ni ne me retournera le cerveau de grandes idées, mais offre régulièrement des univers riches, des intrigues entrainantes et des personnages intéressants. La série Miriam Black, j’avoue je me suis rapidement laissé tenter par sa couverture, illustrée par Joey Hi-fi qui a déjà « sévit » sur les couvertures de Lauren Beukes, que je trouve franchement réussie. Ajouter a cela un résumé assez intrigant dans sa mythologie et ses pouvoirs, il n’a donc pas mit longtemps avant de rejoindre ma PAL. Après, il a bien entendu trainer, autant par une PAL trop grande que par le fait qu’Eclipse ait changé sa ligne éditoriale, se centrant sur les zombies, ce qui a eu pour conséquences d’abandonner un peu tout le reste. Si jamais je me retrouvais fasciné par cette série, la suite devrait être lue obligatoirement en VO.

La Femme d’Argile et l’Homme de Feu – Hélène Wecker

Résumé : Lorsqu’elle se réveille en cette fin du XIXe siècle, Chava est enfermée dans une malle au fond d’un navire qui les emmène, elle et son nouveau mari, vers New York, loin de la Pologne. Faite d’argile, c’est une golème, créée par un rabbin qui s’est détourné de Dieu pour se consacrer à l’occultisme.
Lorsqu’il se réveille, le djinn est violemment projeté sur le sol de l’atelier d’Arbeely, un artisan syrien. L’instant d’avant, c’est-àdire mille ans plus tôt, cet être de feu aux pouvoirs exceptionnels errait dans le désert.
La golème et le djinn, fantastiques immigrés, se rencontrent au hasard d’une rue. Eux seuls se voient tels qu’ils sont réellement. Chacun sait que l’autre n’est pas humain. Tous deux incapables de dormir, ils se donnent rendez-vous une fois par semaine, la nuit, pour arpenter les rues de Manhattan, qu’ils découvrent avec émerveillement.
Mais une menace plane sur eux. Le créateur de la golème, d’un âge très avancé, est prêt à tout pour échapper à la mort. Et il a vu ou se cachait le secret de la vie éternelle : à New York.

Edition : Robert Laffont

 

Mon Avis : Ce roman a beaucoup fait parler de lui lors de sa sortie aux USA, fortement plébiscité et apprécié au vu des quelques critiques que j’ai vu, j’avais donc hâte de le découvrir. Ce fut donc sans surpris que lorsqu’il a été publié en VF, il a rapidement rejoint ma PAL, même si j’avoue, comme cela arrive parfois, il y a un peu trainer. Concernant la couverture je la trouve franchement sympathique dans son ton et ses choix de couleurs. Il est à noter que ce roman a de nouveau été publié, un an après sa sortie chez Robert Laffont, aux éditions Bragelonne avec une couverture « mois du cuivre » sous le titre, plus proche de la version originale Le Golem et le Djinn.

Les Chevaux Célestes – Guy Gavriel kay

Résumé : On donne à un homme un coursier de Sardie pour le récompenser immensément. On lui en donne quatre ou cinq pour l’élever au-dessus de ses pairs, lui faire tutoyer l’élite – et lui valoir la jalousie, parfois mortelle, de ceux qui montent les chevaux des steppes. L’impératrice consort du Tagur venait de lui accorder deux cent cinquante chevaux célestes. À lui, Shen Tai, fils cadet du général Shen Gao, en reconnaissance de son courage, de sa dévotion et de l’honneur rendu aux morts de la bataille du Kuala Nor. On me tuera pour s’en emparer. On me réduira en charpie pour mettre la main sur ces chevaux avant même que j’aie regagné la capitale. » Deux cent cinquante sardiens, introduits par son entremise dans un empire qui éprouvait pour ces montures un désir insatiable, qui gravait à leur image des blocs de jade et d’ivoire, qui associait les mots de ses poètes au tonnerre de leurs sabots mythiques. Le monde vous offre parfois du poison dans une coupe incrustée de pierreries, ou alors des présents stupéfiants. Il n’est pas toujours facile de distinguer l’un de l’autre.

Edition : L’Atalante

 

Mon Avis : Pour ceux qui suivent ce blog depuis un bon moment, vous devez savoir que Guy Gavriel Kay fait parti de ces auteurs dont les récits m’ont toujours laissé un plaisir de lecture plus que positif et dont je me plonge assez facilement dans ses univers. Les Chevaux Célestes a pourtant eu du mal à sortir de ma PAL, un peu effrayé par le pavé qui était proposé et surtout étant dans une période où je traine un manque de sommeil flagrant, j’avais peur de ne pas arriver à entrer complètement dans l’histoire. Sauf que voilà lors des dernières Utopiales j’ai fait entrer dans ma PAL Le Fleuve Céleste qui est lié à ce roman, il fallait donc que je me motive pour le sortir de ma PAL. Ce qui est chose faite. Concernant l’illustration de la couverture, je la trouve bien sympathique, sobre et attrayante.

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