Résumé : Un jour, ils débarquèrent, comme tout le monde l’avait prévu. Tombés d’un ciel bleu candide par une froide et belle journée de novembre, ils étaient quatre, quatre vaisseaux extraterrestres à la dérive tels les premiers flocons de la neige qui menaçait depuis déjà une semaine. Le jour se levant sur le continent américain, c’est là qu’ils atterrirent : un dans la vallée du Delaware vingt-cinq kilomètres au nord de Philadelphie, un dans l’Ohio, un dans une région désolée du Colorado, et un (pour un motif inconnu) dans un champ de cannes des abords de Caracas, au Venezuela…

Edition : Le Bélial’

 

Mon Avis : Gardner Dozois, j’avoue, avant de le découvrir en tant qu’auteur lors de la nouvelle publication de L’Etrangère chez ActuSF, je le connaissais surtout comme anthologiste. Il est d’ailleurs à noter que ses anthologies ont d’ailleurs été régulièrement menées en collaboration avec George R.R. Martin. Puis, comme je l’ai dit, je l’ai découvert à travers son récit L’Etrangère qui m’avait alors offert un très bon moment de lecture à travers un récit poétique, touchant, humain dans un univers très intéressant (ma chronique ici). Il était donc logique, quand j’ai vu que la collection Une Heure Lumière, de la maison d’édition Le Bélial’, allait publier une novella de l’auteur, que je me laisse facilement tenter. Cela et le fait que je n’ai, à ce jour, raté aucune sortie de cette collection (excepté celle que j’avais déjà lu en VO). Malheureux hasard, l’auteur nous a quitté il y a quelques mois. Concernant la couverture, illustrée par Aurélien Police, je la trouve comme souvent magnifique.