Résumé : Dans un monde qui a vu naître et disparaître d’innombrables races et civilisations, l’empire malazéen étend implacablement sa domination, soumettant des continents entiers les uns après les autres, grâce à la discipline de ses armées et la supériorité de ses mages de guerre.
Mais la loyauté de ses soldats, abandonnés et trahis par leur impératrice, est mise à rude épreuve. Perdus, abandonnés et déchus, les fidèles de l’empire vont devoir tenter de survivre, entre sacrifices et dangers mortels.
Un complot bien plus vaste se joue en toile de fond. D’anciennes forces terrées dans l’ombre semblent se réveiller, prêtes à tout pour regagner leur splendeur passée. Regroupés sous la coupe du jeu des dragons, dieux et ascendants, sorciers et chamans, Eleints et changeurs de formes, tirent les ficelles d’un drame qui, transcendant les conflits des simples mortels, se joue à l’échelle du temps lui-même.
Avec un enjeu de taille : la suprématie totale.

Edition : Léha

 

Mon Avis : Ce cycle j’en entends parler maintenant depuis des années, au point limite de me faire peur tant les retours que j’avais eu auparavant étaient majoritairement plus que positifs. Le soucis concernant cette série venait que deux éditions française existaient déjà, mais s’étaient arrêtées après la publication de l’équivalent deux premiers tomes en VO, si je me souviens bien, faute de succès. Souvent dans ce cas-là il est rare de revoir réapparaitre la série en VF au point que j’avais fait entre initialement le premier tome en VO il y a plusieurs mois. Des échos que j’en avais concernant la plume de l’auteur qui demandait un bon travail de concentration a occasionné le fait qu’il a longtemps traîné dans ma PAL au point de finalement apprendre, il y a peu, qu’une nouvelle maison d’édition françophone allait laisser sa chance à ce cycle. J’ai donc décidé, lors des dernières Imaginales où l’auteur était l’un des invités, de faire entrer ce tome 1 en VF dans ma PAL pour enfin découvrir ce cycle. Pour information il s’agit d’un cycle de 10 tomes. Concernant la couverture, illustrée par Marc Simonetti, je la trouve superbe et elle donne envie de découvrir ce roman.